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Articles

Affichage des articles du 2013

L'histoire de famille, manière de dépasser les conflits de génération ?

Qui n'a jamais vue, même dans la fiction, des conflits entre frère et sœur sur sa progéniture respective ? L'enfant de l'un est un porc sans aucune de retenue, mais l'enfant de l'autre ne fait pas mieux puisque qu'on l'a pris en train de voler un paquet de cigarette. Des conflits, sans cesse renouveler à propos de n'importe quel broutille envenimant les repas du dimanche, les fêtes de familles et les mariages. Pour autant est ce une fatalité ? Il semble que non, et c'est le psychologue Marshall Duke de l'université de Emory qui lança une idée bien singulière : Développer une forte mythologie familiale. Une bonne connaissance du passé de ses parents, grand-parents, lointains aïeuls permettrait d'être plus résistant au stress et aux "défis". Comment le sait on ? En tant que clinicien le professeur Duke remarqua que les enfant qui connaissaient le mieux leur famille (c'est-à-dire son histoire) négociaient mieux leur difficu

Eloge de la vulnérabilité (ceci n'est pas un poisson d'avril)

Ce week-end à été calme et paresseux. Comprenez par là que j'en ai fait le moins possible (j'ai quand même un peu travaillé ^^). En général, dans ces cas là, parmi mes distractions compte l'actualité scientifique, en particulier dans les sciences humaines et le développement personnel. Parmi les sites que j'affectionne tout particulièrement dans ce genre de période figure TED. Site de conférence (moins d'une vingtaine de minute en général) vidéo sur des thèmes variés et dédié au partage d'idées. Une ma particulièrement marquée : Brene Brown : Le pouvoir de la vulnérabilité (en anglais, le sous-titrage en français est disponible dans la barre du lecteur) Je vais vous en résumé l'idée, dés fois que vous manquiez de temps ou de motivation : La vulnérabilité est à la fois un bien et un mal. En étudiant les relations humaines dans ses divers aspects (amour, appartenance à un groupe, etc...) elle s'est rendue compte que l'on parlait des mauvais moments plu

Le baillement : forcément un signe d'ennui ?

Nous baillons 250 00 fois au cour de notre vie soit 5 à 10 fois en moyenne au cour d'une journée (merci Wikipédia). Une mesure de notre ennui ? Pas forcément. Il à diverse fonction : sociale, stimulateur ou relaxant, Social car le bâillement est contagieux  : le fait de voir quelqu'un bâiller nous fait bâiller par résonance émotionnelle - le fait de ressentir la même chose qu'une personne en la voyant. Les éthologue, spécialiste du comportement, pense que c'est un moyen "d'être sur la même longueur d'onde", voir quelqu'un faire la même chose que nous inconsciemment (si on à l'impression qu'elle fait exprès ça ne marche pas) la rend plus sympathique. Stimulateur car lorsque que l'on ouvre grand la bouche, deux muscles antagonistes agissent : les muscles masticateurs et les muscles digastriques. Lors de la contraction des masticateurs un influx nerveux et envoyé jusqu'à "la formation réticulé" et le "locus corrule

Check-up psychologique ?

Tout d'abord, désolé de mon absence prolongée, n'ayant pas l'habitude de tenir un blog, je m'en suis désintéressé un long moment. J'en profite pour vous rappeler que si vous avez une question, vous pouvez me la soumettre pour que j'en fasse un article : vous aurez votre réponse, et moi une idée d'article à l’œil ;) Aujourd'hui, je suis tombé sur un article du USA Today -  journal web américain généraliste - qui proposait de compléter votre check-up de santé annuel par une évaluation psychologique. Cette idée tiens son origine d'une étude de l'université de Cambridge, au Royaume-Uni menée par Barbara Sahakian, une importante neuroscientifique outre-manche : "Notre société tient la santé mentale comme quelque chose d'acquis, cependant comme pour notre corps, il est important de garder notre cerveau en forme" (traduction libre de ces deux phrases : “As a society, we take our mental health for granted,” “But just like our bodies