Ce week-end à été calme et paresseux. Comprenez par là que j'en ai fait le moins possible (j'ai quand même un peu travaillé ^^). En général, dans ces cas là, parmi mes distractions compte l'actualité scientifique, en particulier dans les sciences humaines et le développement personnel.
Parmi les sites que j'affectionne tout particulièrement dans ce genre de période figure TED. Site de conférence (moins d'une vingtaine de minute en général) vidéo sur des thèmes variés et dédié au partage d'idées.
Une ma particulièrement marquée : Brene Brown : Le pouvoir de la vulnérabilité (en anglais, le sous-titrage en français est disponible dans la barre du lecteur)
Je vais vous en résumé l'idée, dés fois que vous manquiez de temps ou de motivation :
La vulnérabilité est à la fois un bien et un mal. En étudiant les relations humaines dans ses divers aspects (amour, appartenance à un groupe, etc...) elle s'est rendue compte que l'on parlait des mauvais moments plutôt que des bons, des rejets, de la solitude. Puis elle s'est rendue compte de deux chose : tous ces moments faisaient référence à ce même sentiment qu'est la honte et qui pourrait être résumé à le peur que ce que l'on est ou fait nous isolera de nos proche. La deuxième est qu'une différence s'installaient entre deux type de personne : les premiers acceptait leur part de vulnérabilité (honte, sentiment de ne pas être assez bien pour les autres...) et les second non.
Les premier osaient être eux-même et se montrer de manière authentique sans cacher à tout prix certaine choses, sans prendre des attitudes de façade qui ne leur étaient pas naturelle. Ils avaient la compassion nécessaire pour s'accepter imparfait et accepter les autres...
Les seconds quand à eux étaient perfectionniste à l'excès, au point de ne jamais se trouver assez bien.
Au final, les seconds faisaient tout pour n'agir que dans leur zone de sureté : lorsque qu'ils étaient persuadé de réussir. Ils se créaient une coquille ou ils faisaient tout pour ne pas ressentir de sentiments négatifs, mais anesthésiaient aussi les sentiments positifs.
Or on ne peut pas être sélectif sur les sentiments et émotions à anesthésier (du moins pas avec les "technique" intuitive dont dispose une personne lambda) donc essayer de se protéger du versant négatif revenait à se protéger du versant positif des affects
Au contraire les premiers pensaient qu'il était nécessaire de faire des choses même si elle étaient fortement vouée à l'échec, de se lancer dans une relation dont on ne sait si elle marchera ou pas par exemple.
L'idée qu'accepter d'être imparfait permet de se sentir mieux, de facilité les relations humaine n'est pas nouvelle. Cependant, cette vidéo à ce net avantage d'être communicative : entendre cette chercheuse parler de l'impact de ces recherche sur sa vie personnelle fait comprendre la mesure que peut avoir une idée toute simple sur une vie.
Je souhaite un bon visionnage à ceux qui auront la motivation de le faire ;)
Parmi les sites que j'affectionne tout particulièrement dans ce genre de période figure TED. Site de conférence (moins d'une vingtaine de minute en général) vidéo sur des thèmes variés et dédié au partage d'idées.
Une ma particulièrement marquée : Brene Brown : Le pouvoir de la vulnérabilité (en anglais, le sous-titrage en français est disponible dans la barre du lecteur)
Je vais vous en résumé l'idée, dés fois que vous manquiez de temps ou de motivation :
La vulnérabilité est à la fois un bien et un mal. En étudiant les relations humaines dans ses divers aspects (amour, appartenance à un groupe, etc...) elle s'est rendue compte que l'on parlait des mauvais moments plutôt que des bons, des rejets, de la solitude. Puis elle s'est rendue compte de deux chose : tous ces moments faisaient référence à ce même sentiment qu'est la honte et qui pourrait être résumé à le peur que ce que l'on est ou fait nous isolera de nos proche. La deuxième est qu'une différence s'installaient entre deux type de personne : les premiers acceptait leur part de vulnérabilité (honte, sentiment de ne pas être assez bien pour les autres...) et les second non.
Les premier osaient être eux-même et se montrer de manière authentique sans cacher à tout prix certaine choses, sans prendre des attitudes de façade qui ne leur étaient pas naturelle. Ils avaient la compassion nécessaire pour s'accepter imparfait et accepter les autres...
Les seconds quand à eux étaient perfectionniste à l'excès, au point de ne jamais se trouver assez bien.
Au final, les seconds faisaient tout pour n'agir que dans leur zone de sureté : lorsque qu'ils étaient persuadé de réussir. Ils se créaient une coquille ou ils faisaient tout pour ne pas ressentir de sentiments négatifs, mais anesthésiaient aussi les sentiments positifs.
Or on ne peut pas être sélectif sur les sentiments et émotions à anesthésier (du moins pas avec les "technique" intuitive dont dispose une personne lambda) donc essayer de se protéger du versant négatif revenait à se protéger du versant positif des affects
Au contraire les premiers pensaient qu'il était nécessaire de faire des choses même si elle étaient fortement vouée à l'échec, de se lancer dans une relation dont on ne sait si elle marchera ou pas par exemple.
L'idée qu'accepter d'être imparfait permet de se sentir mieux, de facilité les relations humaine n'est pas nouvelle. Cependant, cette vidéo à ce net avantage d'être communicative : entendre cette chercheuse parler de l'impact de ces recherche sur sa vie personnelle fait comprendre la mesure que peut avoir une idée toute simple sur une vie.
Je souhaite un bon visionnage à ceux qui auront la motivation de le faire ;)
Commentaires
Enregistrer un commentaire